Diamonds Are Forever (1971) de Guy Hamilton
Hier soir, j'ai vu Les Diamants sont éternels de Guy Hamilton. J'ai vu aussi un chat blanc au collier de diamants qui semble ne pas savoir ce qu'il fout dans ce film ; un sous-marin de poche dont le grand méchant du film (Blofeld) semble très, très fière ; un vrai méchant (Blofeld) ; des femmes sauvages dans une villa ; la domination du monde ; le Nevada ; la Hollande ; Baja California... des longueurs.
Robert E. McGinnis © 1971
007 cherche à tuer Blofeld (le grand méchant du film) car Blofeld a tué la femme de 007. Puis, il découvre que Blofield n'est pas mort, mais qu'en plus il s'est cloné !!! Il doit aussi retrouver des diamants, sauver le monde, baiser, sauver le monde, faire des courses poursuites, baiser. Euh... 007 marié ?!!!
On trouve dans ce film un drôle de duo d'homme de main sarcastique assez curieux :
Diamonds Are Forever © 1971
Mr. Wint et Mr. Kidd sont donc de curieux tueurs ; Mr. Kidd a une tête particulièrement affreuse et Mr. Wint semble avoir mauvaise haleine, et ce, jusqu'à la fin du film. Bref. Ils sont très méchants et semblent bien s'entendre aussi.
Ce qui est assez chiant c'est que 007 ne les remarque jamais, pourtant ils sont assez charismatiques (non ?). Il faut attendre ( je commence à avoir mal au dos à force d'être assis comme ça) les dernières minutes du film pour voir une vraie confrontation entre les personnages. Evidemment, Bond les tue d'une manière particulièrement ridicule. Finalement, le ridicule tue.
Mr. Wint et Mr. Kidd, deux sacrés personnages sans coeur, ni loi, ni âme, ni rien d'ailleurs !
Le film se termine sur cette question posée à Bond : "James, comment diable allons-nous faire redescendre ces diamants ?". Puis, Diamonds Are Forever chantée par Shirley Bassey fait son entrée...
Pierre FEYTIS © 2011